Ils en parlent

« J’ai réalisé mon rêve »

« Quand on est petite fille, avec nos poupées, on rêve toutes d’avoir une jolie maison toute neuve. » Si aujourd’hui, Fatim Rouyé a « réalisé » son rêve, il lui aura fallu être patiente. Chargé de diriger des usines à béton, Michaël, son mari, est contraint d’être mobile. « Nous avons vécu du côté de Blanquefort, en Gironde, d’où il est originaire, mais il a aussi fallu déménager en Vendée… Nous étions forcément locataires, impossible de devenir propriétaires dans ces conditions ! »

Mais « il arrive un moment où on n’a plus envie de bouger, où l’on veut un pied à terre, surtout pour les enfants qui grandissent (Bryan a 13 ans et Mariama, 9 ans) et ont besoin de stabilité ». La maison où ils pourront « vieillir », ils la voient naturellement dans la région bordelaise, près de leurs racines. Comme beaucoup de couples, les quadragénaires imaginent pouvoir acheter mais difficile d’accorder son budget aux biens sur le marché et « on a toujours peur des vices cachés ». Ils décident finalement de faire construire et c’est à Homexpo, village de maison exposition à Bordeaux-Lac, que Fatim espère trouver leur bonheur.

 

Un côté épuré contemporain

« Le courant est très vite bien passé avec Bruno Larue, le commercial de Clairlande. C’est un homme carré, direct, qui dit les choses telles qu’elles sont, raconte-t-elle. Nous lui avons dit que nous recherchions un terrain dans la communauté urbaine de Bordeaux et il nous en a proposé trois, dont deux à Blanquefort. Le troisième, à Parempuyre, je l’avais déjà repéré… »

Bingo ! « Nous avons visité et après, la machine est partie ! » Le premier contact avec ces 574 m2 qui allaient changer leur vie, à Parempuyre, s’est fait en avril 2015. Le 15 juin 2016, la famille posait ses valises. « Quand on est avec des gens qui connaissent leur boulot, ça ne traîne pas. » Guidés coup de crayon après coup de crayon dans le dessin de leur maison, Fatim et Michaël Rouyé optent pour une surface habitable de 93 m2 avec une grande pièce à vivre (salon, cuisine ouverte) de 50 m2, un cellier et des toilettes au rez-de-chaussée ; trois chambres, une salle d’eau (douche à l’italienne) et d’autres toilettes à l’étage. Un ensemble « très fonctionnel », avec la touche de modernité convoitée : pour rappeler la couleur du carrelage au sol, le maître d’œuvre « nous a proposé de glisser sur nos murs blancs quelques bandes grises. Ça donne un cachet vraiment très sympa », avoue la propriétaire qui, de la même manière, s’est laissé convaincre d’offrir deux teintes de crépis à sa façade extérieure : gris anthracite devant et blanc derrière. Fatim est totalement fan de ce « côté épuré contemporain ».

 

« Un bon feeling »

Aujourd’hui, si leurs mensualités sont légèrement plus élevées que quand ils étaient locataires, Fatim et Michaël Rouyé n’ont plus la sensation de « jeter l’argent par les fenêtres ». Surtout, la famille a gagné en qualité de vie : une grande maison, avec pour la première fois un jardin « dans lequel les enfants peuvent se défouler » et dans un lotissement calme en campagne où on est réveillé par le chant des oiseaux, « à seulement 25 minutes de Bordeaux centre ».

Pari 100 % réussi pour Fatim, la maîtresse des opérations, qui semble avoir bien fait de suivre son « feeling. Une fois que la relation de confiance s’est instaurée, en général, je ne suis pas déçue. Et là, je reconnais que Bruno Larue, le commercial et David Cardoso, le maître d’œuvre, forment une très belle équipe. Encore aujourd’hui, si j’ai un petit souci, je les appelle, et c’est réglé dans la semaine. Grâce à eux, nous avons vécu une belle aventure ».